La providence fait que nous entendons l’évangile de la guérison du lépreux le dimanche où nous célébrons le sacrement des malades pour des paroissiens qui sentent dans leur corps le besoin du soutien de l’Esprit-Saint.
La représentation la plus fréquente du Christ, c’est lorsqu’il est en croix, quand il partage nos souffrances, nos faiblesses et même notre mort. Il veut être à nos côtés quand nous souffrons. Jésus n’est pas venu pour les bien portants mais pour les malades (cf. Mc 2, 17).
Le sacrement des malades est l’occasion de demander tant de grâces. La grâce de la paix dans l’épreuve, la grâce de la joie de savoir que le Christ est proche de nous dans la faiblesse, la grâce du courage dans la souffrance, la grâce de suivre le Christ au Golgotha, la grâce de dire avec Jésus : « Père, entre tes mains je remets mon esprit ».
p. Serard+, curé